De Meydan à Maisons-Laffitte : Dolniya et Ervedya, deux Boussac habillées de vert

 doit donc la vie que grâce aux performances de sa mère, Elva (King’s Best), à l’entrainement à Pau chez Jean-Claude Rouget. A défaut, la famille maternelle aurait disparue de l’effectif. Elle avait débuté victorieusement à Bordeaux à 2 ans (sur 1.900m.) dominant un certain Vertigineux. A 3 ans, elle fait une rentrée fracassante dans une «B» (en photo à droite ©APRH) en laissant sa dauphine à 8 longueurs sur 1.600m. à Saint-Cloud. Elle termine ensuite seconde de sa compagne d’écurie (Just Little) dans le Prix Vanteaux.
 doit donc la vie que grâce aux performances de sa mère, Elva (King’s Best), à l’entrainement à Pau chez Jean-Claude Rouget. A défaut, la famille maternelle aurait disparue de l’effectif. Elle avait débuté victorieusement à Bordeaux à 2 ans (sur 1.900m.) dominant un certain Vertigineux. A 3 ans, elle fait une rentrée fracassante dans une «B» (en photo à droite ©APRH) en laissant sa dauphine à 8 longueurs sur 1.600m. à Saint-Cloud. Elle termine ensuite seconde de sa compagne d’écurie (Just Little) dans le Prix Vanteaux.
 Ce n’est pas le cas pour S.A. Aga Khan qui a choisi d’acheter la totalité des effectifs de certains élevages venus de quelquepart, ceux de Mme François Dupré (1977) et de Jean-Luc Lagardère (2005) en provenance du Haras d’Ouilly et celui de Marcel Boussac (1978), éleveur à Fresnay le Buffard depuis 1919. Dolniya, gagnante de la Dubaï Sheema Classic, et Ervedya, gagnante du Prix Imprudence, sont issues de cet élevage.
Ce n’est pas le cas pour S.A. Aga Khan qui a choisi d’acheter la totalité des effectifs de certains élevages venus de quelquepart, ceux de Mme François Dupré (1977) et de Jean-Luc Lagardère (2005) en provenance du Haras d’Ouilly et celui de Marcel Boussac (1978), éleveur à Fresnay le Buffard depuis 1919. Dolniya, gagnante de la Dubaï Sheema Classic, et Ervedya, gagnante du Prix Imprudence, sont issues de cet élevage.
 enchères au Clos du Roy à Gouvieux sous l’égide de l’Agence Française (après les courses de Chantilly). L’essentiel de l’effectif est à vendre aux enchères (40 poulinières, 23 yearlings, 20 foals) le lundi 3 octobre 1977 à Longchamp (le lendemain du Prix de l’Arc de Triomphe). Le catalogue est prêt mais la vente est annulée, S.A Aga Khan se portant acquéreur de l’ensemble une semaine avant la vente. Parmi l’effectif se trouvent, entres autres, Top Ville (yearling puis vainqueur du Prix du Jockey Club ensuite), Nièce Divine (yearling puis mère de Natroun, vainqueur lui aussi du Prix du Jockey Club), Molitva (future mère de Mouktar, Prix du Jockey Club) Val Divine, Koblenza, Sursum Corda....etc...
 enchères au Clos du Roy à Gouvieux sous l’égide de l’Agence Française (après les courses de Chantilly). L’essentiel de l’effectif est à vendre aux enchères (40 poulinières, 23 yearlings, 20 foals) le lundi 3 octobre 1977 à Longchamp (le lendemain du Prix de l’Arc de Triomphe). Le catalogue est prêt mais la vente est annulée, S.A Aga Khan se portant acquéreur de l’ensemble une semaine avant la vente. Parmi l’effectif se trouvent, entres autres, Top Ville (yearling puis vainqueur du Prix du Jockey Club ensuite), Nièce Divine (yearling puis mère de Natroun, vainqueur lui aussi du Prix du Jockey Club), Molitva (future mère de Mouktar, Prix du Jockey Club) Val Divine, Koblenza, Sursum Corda....etc...





 
		
